Au départ, il y a une définition : L’option "Histoire des arts" consiste à sortir un mercredi par mois. Ensuite, il y a la réalité... que personne n’avait prévue : confinement, déconfinement, reconfinement partiel... Mais à qui est motivé, rien d’impossible !

Alors certes, aucun concert contrairement aux années précédentes. Mais dans un premier temps, si nous ne pouvions plus aller au contact des artistes, ce sont eux qui sont venus à nous. A commencer par "Codex Urbanus", un street-artiste très en vogue, qui devait intervenir au Château de Malmaison mais qui, du coup est venu nous expliquer sa vie nocturne !

Et puis un très beau moment en salle polyvalente, où la musique de Debussy au piano prolongeait la peinture impressionniste.

Et puis, il y a eu l’exceptionnelle exposition à l’Atelier Grognard de Pignon Ernest, que l’on peut considérer (ou pas) comme le père du Street Art : une intervention au lycée de deux spécialistes de la question, puis une visite privée de l’expo !
Enfin, une fois la liberté un peu retrouvée, la possibilité de retourner au musée : la dernière séance de l’année avait lieu à la Cité de l’architecture : Galerie moderne consacrée aux grandes réalisations du XXème siècle (magnifiques maquettes), moulages du Moyen-Age... et l’impressionnante rencontre avec les rescapés de l’incendie de Notre-Dame :

le coq retrouvé dans les décombres le lendemain... et les statues (3,40 m.) accrochées à la flèche qui avaient été miraculeusement enlevées, hélitreuillées quatre jours avant la catastrophe, pour être restaurées, et qui sont donc maintenant exposées à la Cité de l’architecture avant de retrouver leur place dans le ciel de Paris, lorsque la flèche aura été reconstruite.

Affaire à suivre...